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Immersion nomade & Winter Horse festival

WINTER HORSE FESTIVAL
&
découverte des steppes centrales et Bayan Gobi
 
Aussi appelé le «festival des 10 000 chevaux», ou "Festival du cheval des steppes",
cet évènement est organisé depuis 2015. Les éleveurs locaux et d’autres, venu des provinces voisines se retrouvent pour ce festival où sont rassemblés plus de 2 000 chevaux.
Un évènement annuel auquel nous vous proposons d’assister, au cours d’un voyage immersif, entre steppes centrales, dunes de sable du Bayan Gobi et forêts sibériennes
du massif du Khenty. 
Le « festival d'hiver du cheval » se déroule généralement dans le petit village de Dundburd, dans la province de Khentii, dans l’Est de la Mongolie. L'aïmag de Khentii est riche en patrimoine lié à Chinggis Khan et à l'unification des tribus mongoles.
Il abrite principalement les Buriats, l'un des groupes ethniques de Mongolie.
La communauté de Dundburd elle-même est connue comme un centre d'artisanat traditionnel pour les selles et autres articles de sellerie mongole.
 L'objectif du festival est de contribuer à la préservation de l'héritage de la culture de l'élevage, de mettre en valeur les compétences et la dextérité des éleveurs de chevaux et des cavaliers en compétition et de contribuer à soutenir les moyens de subsistance des communautés locales environnantes. C'est la culture et les traditions équestres de Khentii, ainsi que ses liens historiques, qui rassemblent les entraîneurs de chevaux, les gardiens de troupeaux et les chevaux lors de cet événement annuel de deux jours.
Outre les compétitions équestres, le festival met en valeur la culture de la région, notamment les cavaliers qui se rassemblent avec leurs chiens de chasse.
Ces chiens ne sont pas des bankhar, (chien mongol, descendant du dogue du Tibet) que l'on voit généralement à l'extérieur des gers dans tout le pays.
Il s'agit plutôt de chiens élancés, sportifs et rapides,  ce sont des «chiens de la taïga» semblables à des lévriers. Ces chiens sont endémiques de Mongolie orientale, utilisés depuis plusieurs siècles, pour chasser le loup, le renard ou la gazelle.
 
La chasse pour la viande et la fourrure fait partie intégrante du mode de vie des éleveurs et constitue un élément traditionnel de la culture mongole.
Dans cette région de Mongolie orientale les éleveurs chassent souvent pour se nourrir, ce qui est rarement le cas dans le reste du pays. Ils chassent par exemple la gazelle, afin de ne pas puiser dans leur propre bétail, ce qui leur permet d'augmenter la taille de leur troupeau. Disposer d'un plus grand nombre de têtes de bétail accroît la pérennisation des troupeaux, ainsi que la sécurité alimentaire et renforce la capacité à générer des revenus liés à de la vente de bétail et produits d'élevage.

 

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